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Une Nuit des chercheurs réussie à Orthez et Mont-de-MarsanU-Night | UNITA - Universitas Montium

Plusieurs chercheurs et chercheuses de l’UPPA ont participé à la Nuit européenne des chercheurs à Orthez à et Mont-de-Marsan dans le cadre du projet U-Night de l’alliance d’universités européennes UNITA, dont fait partie l’UPPA.

L’objectif était de faire connaître le métier de chercheur et d’encourager les carrières scientifiques. Loin du cadre institutionnel, dans un lieu parfois insolite, les scientifiques de toutes disciplines sont en effet invités chaque année à faire découvrir leurs travaux de façon ludique, décontractée et innovante. Une première en 2022 dans le Béarn et les Landes.


Orthez | Les codes secrets au temps d’Henri IV

Le musée Jeanne-d’Albret d’Orthez a fait salle comble vendredi soir pendant 4 heures. Il s’agissait d’apprendre les bases de la cryptographie avec Jacky Cresson, mathématicien, et Philippe Chareyre, historien, à travers l’étude du cryptanalyste attitré d’Henri IV, puis de les mettre en pratique lors d’un atelier de jeux cryptographiques en fin de soirée.

Dénes Harai, historien, a également partagé ses connaissances sur les gendarmes béarnais d’Henri de Navarre en 1572. Cerise sur le gâteau, un buffet « comme à la Renaissance » était proposé par La Cuisine s’emporte.


Mont-de-Marsan | Réchauffement climatique : La décarbonation, pourquoi, pour qui, comment ?

A l’IUT de Mont-de-Marsan, une vingtaine de personnes ont assisté à une mini-représentation théâtrale de Fabrizio Croccolo, enseignant-chercheur à l’UPPA, et Paul Fruton et Ange Ndjaka, deux chercheurs postdoctoraux, destinée à mieux faire comprendre le métier de chercheur.

Tous trois travaillent sur la chaire industrielle CO2 Enhanced Storage (stockage optimisé du dioxyde de carbone). Ils ont présenté chacun à leur tour un exposé en lien avec leur thématique de recherche : les cycles du carbone et l’effet de serre ; comment réduire notre empreinte grâce aux techniques de stockage du CO2, et l’implication de l’UPPA dans ce domaine. Et pour faire comprendre leurs expériences en apesanteur sur vol parabolique, ils se sont lancé une bouteille d’eau l’un à l’autre à plusieurs reprises.

Bien que peu fournie, l’assistance s’est montrée passionnée, et la soirée s’est également achevée plus tard que prévu en raison des nombreuses questions posées aux chercheurs.